Nourrir un bébé né un peu trop tôt, c’est souvent tout sauf instinctif.
On imagine un peau à peau magique, un moment suspendu…
et puis il y a la réalité.
Les sondes.
Les biberons donnés à contre-cœur.
Les chiffres, les millilitres, les pesées.
Et ce rêve qui s’éloigne un peu.

Ils posent la bouche.
Ils lèchent à peine.
Ils cherchent…
Et nous, on retient notre souffle.
On espère. On patiente.
On apprend à aimer autrement.

Parce que oui, même à 35, 36 ou 37 SA,
nourrir son bébé peut être un parcours.
Un défi. Un combat.
Mais surtout… une histoire d’amour immense.

Et puis un jour, sans prévenir,
elle ou il tète. Pour de vrai.
Et c’est une victoire silencieuse.
Une rencontre qu’on n’osait plus espérer.

Et puis il y a ces mères de jumeaux, de triplés…
qui offrent leur lait, leur peau, leur force
à plusieurs tout-petits nés trop tôt.
Un acte de patience.
Un don de soi qu’on ne célèbre pas assez.

Il n’y a pas de chemin unique.
Seulement des mamans qui essayent.
Des bébés qui apprennent.
Des liens qui se tissent, lentement,
peau contre peau, souffle contre souffle.

Et si on écoutait vraiment ces histoires ?
Rebecca, étudiante puéricultrice, consacre son mémoire au vécu de l’allaitement chez les mamans de bébés prématurés nés entre 35 et 37 SA.

Elle a créé un questionnaire anonyme, rapide.
5 minutes pour faire entendre vos voix.
5 minutes pour aider les futures mamans à être mieux accompagnées.

https://forms.gle/9PJFDuRzdw72n5oe8

Merci à celles qui partageront.
Merci à celles qui témoigneront.

Vous êtes précieuses.
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